Le chef du Parti libéral du Canada, Justin Trudeau, et son équipe ont lancé leur campagne dont le thème est : changer ensemble. Les libéraux offrent un nouveau leadership et un nouveau plan devant permettre à toutes les Canadiennes et tous les Canadiens de réussir.
« Après une décennie avec M. Harper, nous voulons apporter du changement qui améliorera concrètement la vie de tous les citoyens(nes) de Pierre-Boucher-Les Patriotes-Verchères. Ce changement aidera les familles à joindre les deux bouts et à mettre plus d’argent dans leurs poches, un changement qui rassemblera les Canadiens. Le moment est venu de redonner à la classe moyenne et de créer de la croissance économique, » a déclaré la candidate libérale Francine Crevier Bélair.
Alors que les Canadiennes et les Canadiens de la classe moyenne ont peine à joindre les deux bouts, le plan de M. Harper octroie des milliards aux plus riches et ne fait rien pour aider les citoyens(nes) à améliorer leur sort. Thomas Mulcair, de son côté, ne propose aucune solution pour l’économie et soutient de façon irresponsable le plan de M. Harper de donner plus d’argent aux millionnaires. Sous le leadership de Justin Trudeau, nous comptons sur une équipe solide, prête à offrir un meilleur gouvernement à Ottawa. Tout au long des 78 jours à venir, nous travaillerons avec acharnement sur le terrain. Nous continuerons de faire connaître notre plan pour changer ensemble aux citoyens(nes) de Pierre Boucher-Les Patriotes-Verchères.
« Ces élections portent sur notre avenir et les libéraux sont les seuls à avoir le plan et l’équipe pour amener un changement réel et positif aux Canadiennes et Canadiens. Nous avons un plan qui réduira les impôts de la classe moyenne afin de leur laisser plus d’argent de leur chèque de paie. Nous créerons aussi une allocation mensuelle bonifiée et non imposable pour aider les familles de Pierre-Boucher-Les Patriotes-Verchères à assumer les frais inhérents à élever leurs enfants. Neuf Canadiennes et Canadiens sur dix obtiendront plus avec notre plan. C’est ça changer ensemble, » a conclu Francine Crevier Bélair.