Comme suite au Conseil national du Bloc Québécois tenu le 7 septembre dernier, le candidat de Pierre-Boucher-Les Patriotes-Verchères, Xavier Barsalou-Duval, a tenu à faire connaître les enjeux nationaux qu’il désirait mettre de l’avant au cours de la présente campagne électorale.
En ce qui a trait à l’enjeu du quai fédéral de Verchères, le candidat a fait savoir que les évaluations pour sa mise à niveau se situent entre 5 et 7 millions. Or, le gouvernement fédéral, dans son budget 2015, a annoncé un montant de 288 millions pour des travaux de réparation et d’entretien de ports pour petits bateaux. « Étant donné son état de dégradation, il serait impératif que le quai de Verchères en soit l’un des bénéficiaires. Ce quai fait partie de l’histoire de Verchères depuis plus de 100 ans et il est encore utilisé aujourd’hui par les agriculteurs de la municipalité. Le laxisme du gouvernement fédéral doit cesser avant que le quai ne soit irrécupérable. » a déclaré monsieur Barsalou-Duval.
Par ailleurs, le candidat du Bloc Québécois a fait part de ses préoccupations quant à l’absence d’engagement du gouvernement fédéral concernant l’érosion des berges. « Plusieurs résidents se sont installés sur les rives du fleuve St-Laurent afin de bénéficier de la quiétude et du paysage majestueux qu’offre notre territoire. Il est désolant de constater qu’Ottawa n’offre aucun soutien à ces résidents alors que les berges ne sont plus entretenues par le gouvernement fédéral. » a signalé l’aspirant au poste de député dans Pierre-BoucherLes PatriotesVerchères.
En dernier lieu, le candidat a terminé son énumération des enjeux nationaux en rappelant l’engagement du Bloc Québécois en ce qui concerne le maintien d’un niveau d’indexation raisonnable des transferts fédéraux en santé ainsi que son opposition à un péage sur le pont Champlain.
« Le 19 octobre prochain, le Québec sera face à un choix. Pour ma part, ce choix est clair: il est nécessaire d’élire un grand nombre de députés du Bloc Québécois afin que le Québec soit la seule priorité de notre députation, et ce, sans compromis. » a conclu Xavier Barsalou‑Duval.