Les candidats du Parti Vert JiCi Lauzon et Corina Bastiani, confirment ce qui devient de plus en plus clair suite à la décision d’Environnement Canada, des députés verts à Ottawa nous assureraient que le dossier du déversement des eaux usées serait défendu adéquatement.
« La décision dans ce dossier sera prise après la prochaine élection et je m’engage à faire de ce dossier mon premier combat à la Chambre des Communes » confirme JiCi Lauzon, candidat du Parti Vert dans Pierre-Boucher-Les Patriotes-Verchères, un comté qui regroupe plusieurs municipalités qui seront touchées par ce possible déversement et dont l’écosystème est à protéger. Même son de cloche de la part de la candidate du Parti Vert dans Bécancour-Nicolet-Saurel, madame Corina Bastiani, qui défendra ce dossier corps et âme pour les mêmes raisons que son acolyte. « Il est temps que l’environnement et la salubrité des eaux du Saint-Laurent occupe la place importante qui leur revient dans l’enceinte du Parlement canadien afin que les prochaines générations ne souffrent pas des décisions que l’on prend aujourd’hui » affirme madame Bastiani. Les candidats du Parti Vert s’engagent aussi à voire à des solutions au sujet des surverses fréquentent qui ne sont plus acceptables en 2015.
Les candidats du Parti Vert incitent la population à faire le bon choix afin que le déversement des eaux usées soit enterré au lendemain du 19 octobre prochain. » Les candidats du Parti Vert ont un parti pris avant tout pour ces ressources de la planète que l’on emprunte à nos enfants » souligne JiCi Lauzon. De son côté, Corina Bastiani rappelle qu’il est temps que les électeurs ne soient plus pris pour acquis par les partis politiques traditionnels. « Les grands environnementalistes qui se questionnent chaque jour sur le sort de notre planète considèrent cette élection au Canada comme déterminante dans nos choix pour l’avenir. Il ne faut pas perdre de vue l’impact que ces débats auront sur nos familles, nos parents et sur le vivre-ensemble. Le temps est venu de cesser de se cacher derrière le superflu et d’engager un véritable débat de société sur la qualité de notre environnement et sur le développement durable » affirme, en conclusion, madame Bastiani.