Le Contre-courant


Assemblée générale annuelle du Parti Québécois de Verchères
«Un plan solide pour l’avenir de notre pays, le Québec» -Stéphane Bergeron

C’est le 18 mars dernier que près d’une centaine de personnes, au nombre desquelles on retrouvait bien sûr le député de Verchères, monsieur Stéphane Bergeron, les conseillers municipaux de Verchères et Saint-Amable, madame Carole Boisvert et monsieur Michel Martel, ainsi que le commissaire scolaire Ronald Tremblay, ont bravé le froid de ce matin de fin d’hiver pour prendre part à l’assemblée générale annuelle de l’Association du Parti Québécois de Verchères.

La présidente réélue sans opposition, madame Diane Duplin, a tracé un bilan très positif des douze derniers mois: «Tous les efforts ont été déployés pour mettre en œuvre et réaliser le plan d’action 2016-2018 que nous avons adopté lors de l’assemblée générale annuelle de 2015. Nous avons participé à de nombreuses activités, tant au niveau régional que national, ainsi qu’aux activités dans la circonscription et la région de la Montérégie. Je pense notamment au processus ayant conduit au Congrès national de septembre dernier, auquel nous avons activement pris part, à telle enseigne que trois de nos propositions figurent maintenant au programme du Parti Québécois. Un ‘‘membership’’ et un financement qui se portent bien constituent le meilleur des sondages! C’est grâce à ses valeureux militants que le Parti Québécois assurera une présence de tous les instants dans Verchères et c’est grâce à eux que nos efforts seront couronnés de succès!», d’affirmer madame Duplin avant de permettre à la représentante du comité des jeunes, Cynthia Therrien, de faire état d’une année d’activités fort occupée, dont la sympathique soirée karaoké «Chants et Lisée», qui s’est tenue à la veille de la rentrée en présence du chef du Parti Québécois, et la récente soirée «Bière et politique», deux événements ayant connu un très grand succès. De bon augure pour la suite!

Clément Arseneault, vice-président (Sainte-Julie); Henri Rougeau, conseiller (Varennes); Laurent Samson, conseiller (Varennes); Bruno Lavoie, conseiller (Varennes); Diane Duplin, présidente (Varennes); Léo G. Brunet, trésorier (Sainte-Julie); Berthe Demers, secrétaire (Sainte-Julie); Denise Beauchemin, conseillère (Verchères); Jocelyne Mathieu, conseillère (Verchères); Cynthia Therrien, représentante jeune (Contrecoeur) et moi-même (étaient absents sur la photo: Simon Girard, représentant jeune [Varennes] et Richard Jutras, conseiller [Contrecoeur])


 
Les membres étaient notamment appelés à procéder, dans le cadre de l’assemblée générale, à l’élection du conseil exécutif, qui constitue un savant agencement d’expérience et de nouveauté.

«Il est réconfortant et encourageant de savoir qu’on peut toujours compter sur l’engagement et la loyauté de nos militantes et militants, car c’est sur chacune d’elles et chacun d’eux que repose le succès du projet que nous portons, particulièrement en cette année électorale. Le comité électoral et le comité des communications sont déjà en place. Le travail du comité argumentaire est complété et on en entendra d’ailleurs parler prochainement… Il faut se rappeler que près de la moitié des électeurs qui voteront, le 1er octobre prochain, n’avait pas l’âge de voter lors du référendum de 1995! Nous ne leur avons guère parlé d’indépendance, depuis, mais nous avons abondamment parlé de référendum… Or, nous ne sommes pas ‘‘référendiste’’, mais souverainistes. Le référendum, c’est une clé permettant d’ouvrir la porte s’ouvrant sur notre pleine liberté. C’est donc de liberté dont nous parlerons!», de déclarer Stéphane Bergeron.

«Et la liberté, c’est l’affaire de tout le monde et pas simplement des députés. Chacune et chacun de nous a donc un rôle à jouer. Il est donc important d’être bien outillé pour argumenter et convaincre. Nous nous sommes engagés à tenir un référendum dans un deuxième mandat, ce qui implique qu’il faut qu’il y ait d’abord un premier mandat, qui permettra au Parti Québécois de préparer l’accession du Québec à sa souveraineté, qui ne requiert pas simplement que l’assentiment d’une majorité des nôtres, qui doivent simplement en venir à se faire confiance et à se dire ‘‘OUI’’ à eux-mêmes, mais également que cette indépendance soit dûment reconnue par la communauté internationale, comme l’ont démontré les cas pourtant exemplaires du Kurdistan irakien et de la Catalogne. Comme le dit souvent Jean-François Lisée, le train de la souveraineté est en gare et se mettra en branle avec le Parti Québécois, le 1er octobre prochain», a conclu Stéphane Bergeron.


 

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