Chronique Toponymique
Je me présente, Michel Marchessault, natif de Saint-Antoine-sur-Richelieu.
L’une des familles souches installées à Saint-Antoine dont les ancêtres, Jean-Baptiste Marchesseau et Marie-Jeanne Corbin, se sont mariés à Québec le 1er octobre 1742. Puis la veuve Corbin et ses enfants partent pour Saint-Antoine durant l’année 1767. Ainsi, Christophe Marchesseau est le premier fils à se marier avec Françoise Guertin, le 08 janvier 1770 à Saint-Antoine.
Après être demeuré durant 35 ans à Beloeil, je reviens m’installer dans mon patelin natal au moment de prendre ma retraite en 2008. Résident dans le noyau villageois, je me suis intéressé et impliqué rapidement comme bénévole aux activités de la Société d’histoire locale et des activités culturelles de la Maison de la culture. Ainsi je deviens membre en 2009 puis en 2011 je suis choisi comme secrétaire au sein du conseil d’administration de la Shec. J’y entreprends un quatrième mandat de deux ans en cette année 2017. En devenant secrétaire, outre la rédaction des procès-verbaux, il y a de nombreuses occasions où la communication écrite est requise et nécessaire et selon différentes formes en regard des situations ou occasions.
Outre comme secrétaire, j’ai la responsabilité d’assurer et préserver nos archives. Ainsi j’ai pu faire les découvertes et augmenter mes intérêts pour notre histoire locale, ses personnages importants, la richesse de son patrimoine et la source de mes écrits présents à raconter.Ainsi des rédactions et textes furent produits, dès 2012 dans le Gens de Saint-Antoine, bulletin de la Société historique et culturelle de Saint-Antoine-sur-Richelieu; une série intitulée un Mot d’histoire et un Mot sur le présent parue dans La Gloriette, bulletin de la Municipalité de Saint-Antoine-sur-Richelieu, en 2012-2013. Un numéro spécial sur George-Etienne Cartier (6 septembre 1813-20 mai 1873) paru en septembre 2014 pour rappeler le 200e anniversaire de naissance de notre illustre patriote et politicien. Enfin, une nouvelle série sur la toponymie des rues, routes et chemins de Saint-Antoine a débuté en décembre dernier dans la Gloriette.
Mes autres intérêts sont orientés vers le chant choral, la participation à la troupe de théâtre de Saint-Antoine, la généalogie, je suis membre de d’autres Sociétés dans la région. La randonnée en vélo et la bonne marche en hiver tout en sillonnant les trottoirs et le pont de glace sur le Richelieu lorsque Dame nature le rend possible.
Chronique toponymique: les rues Boulanger et Durocher
La création des rues Boulanger et Durocher est plutôt confuse. La première mention se trouve dans une requête déposée à la Municipalité le 4 mars 1878 par Ferdinand Fecteau.
Chronique toponymique: la rue Mauger
Cette rue portait autrefois le nom de « la Petite rue », sans doute parce qu’elle ne fait de 89,4 mètres de longueur et ne dessert qu’une poignée de maisons.
Chronique toponymique: la rue des Chênes et la rue des Érables
Rue des Chênes
Cette rue existe depuis 1983, elle est située sur l’ancienne terre de monsieur Roger Archambault et ne compte que 93 pieds de longueur.
Chronique toponymique: la rue Lecours
En juin 1966, monsieur Lionel Archambult propose que la municipalité achète d’Antoine Lecours, menuisier de Saint-Antoine, une lisière du lot 98 pour y faire une rue.
Chronique toponymique: la rue Marie-Rose
L’emplacement de cette rue fut acquis de la commission scolaire de Saint-Antoine par la municipalité de-Saint-Antoine-de-Padoue, le 17 septembre 1963, en vertu du règlement 51 adopté le 14 octobre 1961.
Chronique toponymique: la rue Adélard-Courtemanche
Cette rue du développement domiciliaire Jardins historique de Saint-Antoine a été inaugurée au début des années 2000.