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Le Contre-courant

Le député Sylvain Rochon en compagnie de Paul Messier de la SABL, avec vue sur la Baie Lavallière.(Photo d’archive)

Baie Lavallière Phase II
Le député de Richelieu, Sylvain Rochon, fier du combat qu’il a livré pour le projet

Le député de Richelieu à l’Assemblée nationale, Sylvain Rochon, est fier de voir démarrer la seconde phase du projet collectif agricole de la rivière Pot-au-Beurre qui se concrétise enfin grâce à une aide financière de 140 000 $ sur deux ans du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ), tirée du programme Prime-Vert 2013-2018.

« Il y a, dans le projet collectif agricole de la rivière Pot-au-Beurre, affirme le député, l’agriculture de demain. Il est ambitieux, inspirant et il faut lui donner la chance de réussir ».
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Projet s’étant valu l’engagement de 78% des producteurs agricoles concernés, du jamais vu pour ce type d’initiative agro-environnementale, le projet collectif agricole de la rivière Pot-au-Beurre veut instaurer, dans le bassin versant de la baie, des pratiques permettant de minimiser significativement les impacts de l’agriculture sur le milieu naturel, le dépôt de sédiments dans le bassin hydrographique étant particulièrement visé.

Trois objectifs le guidant dans le dossier de la Baie Lavallière, la préservation du gagne-pain des producteurs agricoles, la préservation du milieu naturel et la prise en compte de l’apport économique tant des activités agricoles que récréotouristiques, dont la région ne peut se priver, Sylvain Rochon a beaucoup insisté auprès du ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, Laurent Lessard, et de son prédécesseur, Pierre Paradis, pour qu’ils soutiennent le projet.

« Laurent Lessard m’a confirmé, il y a quelques mois, que l’UPA allait obtenir cette bonne nouvelle. C’est maintenant fait et je suis fier que la coordonnatrice du projet soit déjà à l’œuvre. Une étude hydrologique réalisée tout récemment dans la baie Lavallière et le bassin versant de la Pot-au-Beurre a estimé que la fréquence à laquelle il faudrait y nettoyer les cours d’eau, afin de contrer le problème des terres inondées sur une durée trop longue pour la production agricole, passerait de 14 ans à environ 25 ans avec de meilleures pratiques agricoles en amont de la baie. Maintenant que les producteurs s’engagent dans cette voie, le gouvernement doit plus sérieusement que jamais examiner celle du nettoyage des cours d’eau », a conclu le député.
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