Le Contre-courant

Le Parti Québécois du comté de Verchères a été actif lors du congrès de refondation tenu à Trois-Rivières cette fin de semaine

C’est dans le cadre d’un point de presse, que le président du Parti Québécois de Verchères, Bruno Lavoie, a souligné, au nom des membres de l’exécutif, sa grande satisfaction de la conclusion du congrès de refondation de ce parti tenu cette fin de semaine à Trois-Rivières.

Fort d’une délégation importante, le Parti Québécois de Verchères c’était auparavant bien préparé. « Cela faisait déjà plusieurs mois que nous avions amorcé notre propre réflexion relative à l’avenir de notre parti mais surtout pour la cause à laquelle nous sommes dans ce parti: l’indépendance. D’ailleurs, certaines de nos observations et propositions ont été retenues tant au niveau régional que lors de ce congrès, cela veut dire que nous avions certainement bien fait nos devoirs » a souligné M. Lavoie.

Maintenant un long parcours débute pour les membres de ce parti mais aussi pour ses sympathisants. « Au cours des prochains mois, nous allons démontrer, d’une façon positive et respectueuse du rythme de la population québécoise, combien le Québec serait mieux servi s’il était indépendant. Le grand sujet des prochaines années au niveau international sera les changements climatiques. Pour que notre nation puisse être entendue et apporter sa propre contribution aux solutions face à ce grand défi pour l’humanité, il importera qu’elle puisse parler en son propre nom, donc d’être souveraine » a ajouté ce dernier.

Enfin, le Parti Québécois de Verchères entend également démontrer que, même au niveau de son comté, l’indépendance du Québec serait nettement plus avantageuse que d’être dans un pays qui fait preuve de plus en plus d’un grand mépris envers ce que nous sommes. « On n’a qu’à penser à la relance du secteur agricole de Saint-Amable, de la venue du nouveau terminal de l’Administration portuaire de Montréal à Contrecœur et de toute l’industrie de la logistique qui s’y développera, de la capacité de nos PME à s’adapter aux différentes dispositions régissant les ententes commerciales internationales pour conclure qu’il est même urgent que le Québec puisse parler de son propre chef car nos intérêts économiques, entre autre, sont à mille lieux de ceux de l’Ontario ou de l’Alberta » a conclu M. Lavoie.


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